imparfait et plus-que-parfait
C’est ici que je me retrouve,
À la mi-chemin entre les parallèles de ce qui était, de ce qui est, et de ce qui peut être ou ne pas être.
Ce qui était courait, entre la chaleur de la maison, l’impatience du son de ta voix, et le froid qui s’impatientait d’être troqué pour le soleil vacancier.
Ce qui était épluchait les couches cornées de l’usure des cœurs. Ce qui était revivifiait les feux éteints.
Ce qui était, était chaud, était beau, était ensoleillé en ces journées de début de nouvelle année.
Ce qui était changea de temps de verbe, aux coups de minuit.
Le conte de princesse perdu de sa magie, perdu de tout raisonnement
La peau encore chaude tropicale, le teint bronzé et coloré
J’attendais de retrouver la tienne.
Rapidement, la tienne comme la mienne devinrent glaciales.
Le passé simple, fut un temps beau, quel qu’en soit sa durée, avant de s’échanger pour un imparfait désolant.
Ce qui est,
Est parsemé d’un doute, d’un inconnu non rassurant, épeurant.
Ce qui est,
Ne se retrouve pas entre une connexion douteuse à bout de bras
Quelque part de tranquille à l’autre bout de l’Amérique
Et quelque part de festif en métropole québécoise.
Ce qui est attend, avec fierté presqu’identique à ce qui était.
Ce qui est espère et croise ses doigts, encore une fois.
Ce qui est se retient.
Se retient du « trop », par peur de revivre ce qui était.
Ce qui peut être ou ne pas être fait peur
Ce qui peut être ou ne pas être, s’étouffe d’un mal être angoissé de « peut-être ».
Ce qui sera est un temps composé sémantiquement de deux éléments
D’un temps simple, et d’un participe passé.
C’est un futur, construit de l’antérieur, un futur proche je l'espère, un futur périphrastique.
En attendant, je me contenterai d'un présent doux et facile,
Quand je serai guérie, la rancune me quittera.
À la mi-chemin entre les parallèles de ce qui était, de ce qui est, et de ce qui peut être ou ne pas être.
Ce qui était courait, entre la chaleur de la maison, l’impatience du son de ta voix, et le froid qui s’impatientait d’être troqué pour le soleil vacancier.
Ce qui était épluchait les couches cornées de l’usure des cœurs. Ce qui était revivifiait les feux éteints.
Ce qui était, était chaud, était beau, était ensoleillé en ces journées de début de nouvelle année.
Ce qui était changea de temps de verbe, aux coups de minuit.
Le conte de princesse perdu de sa magie, perdu de tout raisonnement
La peau encore chaude tropicale, le teint bronzé et coloré
J’attendais de retrouver la tienne.
Rapidement, la tienne comme la mienne devinrent glaciales.
Le passé simple, fut un temps beau, quel qu’en soit sa durée, avant de s’échanger pour un imparfait désolant.
Ce qui est,
Est parsemé d’un doute, d’un inconnu non rassurant, épeurant.
Ce qui est,
Ne se retrouve pas entre une connexion douteuse à bout de bras
Quelque part de tranquille à l’autre bout de l’Amérique
Et quelque part de festif en métropole québécoise.
Ce qui est attend, avec fierté presqu’identique à ce qui était.
Ce qui est espère et croise ses doigts, encore une fois.
Ce qui est se retient.
Se retient du « trop », par peur de revivre ce qui était.
Ce qui peut être ou ne pas être fait peur
Ce qui peut être ou ne pas être, s’étouffe d’un mal être angoissé de « peut-être ».
Ce qui sera est un temps composé sémantiquement de deux éléments
D’un temps simple, et d’un participe passé.
C’est un futur, construit de l’antérieur, un futur proche je l'espère, un futur périphrastique.
En attendant, je me contenterai d'un présent doux et facile,
Quand je serai guérie, la rancune me quittera.
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